Généralement, les femmes prêtes physiquement à procréer ne désirent avoir d’enfant qu’une fois qu’elles disposent d’une source de revenus stable. Elles usent ainsi des méthodes de contraception pour limiter au maximum les risques de tomber enceinte involontairement. Néanmoins, ces risques subsistent même avec l’utilisation de dispositifs de contraception. Une grossesse peut ainsi se produire au moment où nous nous y attendons le moins. C’est dans ces situations que nous pensons à l’avortement comme solution à nos soucis. Cette pratique présente cependant des risques qu’il ne faut en aucun cas minimiser.

Une pratique à risque pour toute femme enceinte
Un avortement consiste à mettre fin à une grossesse avant son terme. Il s’agit donc en quelques sortes de tuer le fœtus. Cette intervention qui n’est pas sans risque doit absolument être faite avant la 12ème semaine de grossesse au risque d’être punie par la loi. Ainsi, la décision de procéder à une interruption volontaire de grossesse n’est pas à prendre à la légère.
Elle peut laisser des séquelles psychologiques et des regrets. En effet, le fait d’avoir tué un fœtus peut donner naissance à un sentiment de culpabilité chez la femme enceinte. La majeure partie des médecins sont qualifiées pour une Intervention Volontaire de Grossesse. Cependant, certains n’acceptent pas toujours de procéder à un avortement tout simplement parce qu’une telle pratique va à l’encontre de leur étique.
Se faire conseiller par une assistante sociale ou un autre professionnel en la matière est donc primordial pour éviter de prendre la mauvaise décision. Ces professionnels veillent indirectement à convaincre toute femme enceinte d’éviter l’avortement. Ils appuient généralement le fait qu’un avortement n’est pas sans danger. Les risques existent réellement puisque des cas surviennent où certaines patientes ne survivent pas à l’avortement. D’autres peuvent sortir indemnes mais voient leurs chances de fertilité réduites à chaque avortement.